Chaque fois que je le rencontrais dans le village, j’en avais le coeur serré. Il n’osait pas s’approcher, timide et reservé. En moi-même je me disais : « j’arriverais à le faire opérer ».
C’est chose faite.
Le voilà à peine sorti de l’hôpital.
Nous attendons avec impatience son premier sourire…
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